Lingerie chez Louen

HRP : Ce sont des capes qu'elle a trouvé, pas des robes n'est ce pas ? //HRP

"Ne vous en faites pas pour moi. J'ai beaucoup voyagé avant d'arriver ici et ni le temps, ni les imprévus ne m'ont aidés à garder une bonne mine. Mais bon, vous savez ce que c'est, rien n'est très clair ces temps-ci !
Où pourrais-je essayer cette cape ? "

Tout en posant cette question, elle sentit sa soif augmenter de secondes en secondes et les artères du cou de la vendeuse se dessinèrent de plus en plus clairement devant ses yeux.

(Désoler, a force de parler de robe je l'écrit partout.)
'Et bien je ne crois pas que vous ayez grand besoin de vous cacher pour essayer un cape, mais si vous voulez il y a un paravent juste la, derrière vous.'

"C'est vrai, excusez-moi, j'avais la tête ailleurs."

Elle prit la cape et l'enfila. Ainsi vêtue, elle alla vers une glace en vérifiant bien que la vendeuse la suivait.

*Les vampires n'ont pas de reflets dans les glaces, et tu vas l'apprendre à tes dépends...*

Elles arrivèrent devant la glace et avant même que la vendeuse se rende vraiment compte du problème, une main se plaqua sur sa bouche tandis que la mine de sa cliente se faisait de plus en plus sombre.
Ses canines vampiriques apparurent dans sa machoire et prirent le chemin de l'artère de l'humaine...

La pauvre victime te mord cruellement la main et te donne un coup de coude dans le ventre. Tu lâches prise et celle-ci fonce vers la porte tout en hurlant de terreur.

*Evidemment, il faut que ma première vraie proie en deux semaines soit celle que je rate... Ai-je perdu la main à ce point ? * pensa-t-elle en se dirigeant vers la caisse.

Elle vérifia que la vendeuse n'avait pas encore attiré trop de badaux et/ou de gardes et tenta d'ouvrir la caisse avant de partir vers l'arrière de la boutique à la recherche d'une porte secondaire ou d'une ouverture sure les égouts.

Tu n'as aucun crochet donc tu ne peux pas ouvrir le coffre. La seule porte secondaire que tu trouves mène dans l'arrière-boutique. Des gardes arrivent en courant, ils seront là dans quelques minutes.

Tout ce que tu trouves ici c'est une montagne de tissus et de vêtements. Après quelque minutes tu trouves une porte qui conduit dehors dans une ruelle sombre et délabrée. Pendant ce temps les gardes sont arrivés au magasin.

Tu ne trouves rien qui puisse barrer la porte mais tout le bruit que les pièces dans le coffre font en bougent a alerté les gardes et tu les entends se diriger vers la porte.

"Encore quelques mètres... Plus que quelques mètres et ils seront sur moi..." ,pensa-t-elle, au bord de la panique.

Elle se retourna, referma sa cape et mit sa capuche et partit défier le Soleil. Pendant qu'elle allait vers la grande rue, elle chercha un objet contendant qui pourrait l'aider si elle devait combattre.
Arrivée dans la grande rue, elle vérifia que chaque parcelle de peau était cachée par la cape ou la capuche et partit en quête d'une bouche d'égouts.

Une fois arrivée sur la grande rue tu te perds dans la foule mais aucun signe d'une bouche d'égout. A ton grand soulagement le Soleil ne te fait pas souffrire.

La ruelle où tu te trouves est jonchée d'ordure et de personne frappée par la peste. Tous les gens ont un regard malheureux et désespéré.

L'un des tas d'ordures bougea...

En son sein, des muscles se raidirent... inspirant, une créature se réveillait... étirant un peu plus les bras, Krigt ouvrit ses yeux rouges.

Il était de fort méchante humeur...

Chassé du camps d'un chef skaven où il se faisait passer pour un esclave, il avait arpenté les tunnels sans armes, étant souvent obligé de fuir les créatures qu'il rencontrait... Puis il avait trouvé ce qu'il cherchait...

Une Ouverture !

Il devait fuir ces tunnels, le chef de guerre du clan mineur avait appris la présence de l'espion et le tuerait s'il le retrouvait.

Errant dans des tunnels plus plats, il avait évité des créatures à sans poils. Ce passage était celui par où il était entré et était un endroit où les choses-hommes tapaient sur des cailloux avec des armes...

Une fois sortit, il avait erré de nuit dans la nature et avait repéré une ville des choses-hommes. Là il lui serait plus facile de se nourrir.

IL était entré discrètement par un soir froid, où les gardes s'aveuglaient avec leurs torche à force de s'en raprocher...

Arrivé dans l'enseinte de la ville il avait trouvé cette planque... passant entre les choses-hommes faibles et endormis.

Il s'était enfoui sous un des tas et n'avait eu aucun mal à se cacher et à passer pour des ordures avec ses vètement d'esclaves.

Mais il ne pouvait plus dormir ! L'air vicié lui devenait insuportable ! Il commençait à avoir des démangeaisons par tout le corps à force de rester immobile ! Il faisait vraiment un Assassin pitoyable !

Enragé en repensant au souvenir soudain de la honte de l'echec de sa dernière mission, il perdit toute patience et se redressa, sortant des ordures au milieu des choses-hommes.

Certains te regardèrent avec un regard à peine surpris mais la majorité ne te regardèrent même pas. Tout ceux atteint par la peste subissaient des mutations, ils croyaient pour la plus part que tu était rendu à un stade avancé de la maladie.

Ces choses-hommes étaient malades et il le serait surement s'il en mangeait.

Il remarqua une chose-homme qui n'avait pas l'air malade. Il se redressa un peu plus, sortant totalement des ordures et se mit à renifler pour capter l'odeur de son hypotétique proie...

Il ne sentit rien au premier abord et prit alors le risque de s'approcher un peu plus...

Quand il arriva à cinq mètres de la jenne femme, il renifla à nouveau...

Il poussa un coinement de dépit

"Toi chose morte... pas mangeable !"

Une fois dans la ruelle, elle se mit directement à l'ombre et enleva sa capuche avant de s'avancer. Elle ne fit qu'un pas avant de se rendre compte que la ruelle empestait plus la mort que n'importe où ailleurs dans l'ensemble de la ville.

Malgré les jours qu'elle avait passé à se nourrir de rats au fond de son cachot, Elisa ne sentit aucun dégout lui soulever le coeur. Les regards se levèrent à son approche mais elle les ignora.

Soudain, une ombre se leva et se faufila au ras du sol. D'instinct, elle pensa à un rat géant et la suite lui donna raison.

Elle ne broncha pas, prête à le frapper avec le coffre (tout en espérant que le choc l'ouvrirait) mais elle le vit juste la renifler.

"Toi chose morte... pas mangeable ! grommela-t-il

_C'est loin d'être ton cas, petit raton alors écarte toi, à moins que tu ne connaisses un moyen simple d'ouvrir un coffre." répondit-elle en le désignant .

Krigt ignora la menace et renifla le coffre, espérant qu'il y aurait de la nourriture à l'intérieur

"Pourquoi tu le cogne pas jusqu'à ce qu'il cède ?"

"Tout simplement parce qu'un coffre complêtement défoncé ne sert plus à rien..."

Elle n'attendit pas de réponse et fit un nouveau pas vers lui. La première impression qu'elle avait eu de lui s'infirma : il était dans le même état qu'elle et empestait autant la mort que les pestiférés.

"Dis moi, saurais-tu s'il y a des armes dans cette ruelle, ou n'importe quoi qui puisse ouvrir cette serrure sans détruire le reste ?
Et peut-être ton odorat sentit-il où crèche des femmes capable d'étancher ma soif."

"Pourquoi garder un coffre fermé ?"

Haussant les épaules Krigt dit

"Des choses-hommes femelles il y en a partout... ta question est plutôt où est-ce qu'il y en a que personne ne regarde et j'peux rien pour toi là. pour ce qui est des armes avec un peu d'imagination c'est pas bien difficile à trouver... Si tu tue un type, ses os taillés avec les dents ou les griffes peuvent devenir des armes... Si tu veux des armes de fer, il y en as plein les armureries..."

Puis il regarda les pestiférés

"Pourquoi tu mange pas un qui est là ? T'es une chose-morte, tu peux pas être malade... en attendant, il me faut de la viande. Tu sais grimper aux toits ? T'es une chose morte qu'a peur du soleil ?"

"Je ne serais jamais assez débrouillarde pour tailler les os de mes victimes. En parlant de victime, la première que j'attaque en au moins deux semaines a justement décidé de me filer entre mes canines... Et ne compte pas sur moi pour mordre ces... choses ! "

Elle suivit son regard vers les pestiférés mais ne s'y attarda pas.

"Disons les choses comme elles doivent être dites : je suis Elisa, une vampire lahmiane spécialisée dans le meurtre sur contrat.
Nos activités passées ont l'air d'avoir eu en commun de nombreux problèmes. Je ne puis faire tout ce que tu me dis et oui, je suis vulnérable aux rayons du soleil.
Quelles étaient tes activités avant de t'échouer ici ? "

Krigt, pour qui les mots vampire et lahmiane ne disait rien, repondit :

"Ma mission précédente te regarde pas. Je suis Krigt, du clan Eshin. Je suis un des assassins du clan."

Il regarda les pestiférés encore une fois, regrettant qu'il n'y en ai pas un en forme et dit :

"Si tu sais pas grimper et puisque t'as peur du jour, il va falloir attendre qu'il fasse noir... Je pense que tu peux servir donc nous nous occuperons des proie ensemble cette nuit. Je mange la chair et toi le sang... on s'introduira dans une maison et on tuera quelqu'un tout simplement... j'espère que tu cours vite au cas où."

Il réfléchit

"T'as remarqué un trou pour les tunnel pour les ordures ? ça nous servirais pour nous cacher."

"Ne t'en fais pas, s'il y a une chose que j'ai très vite apprise, c'est d'éviter le plus possible les gardes ou les soldats blancs.
J'ai visité de nombreux égouts ces derniers temps et je me demande si ils ne poourraient pas être notre dernier recours. Je ne pense pas que les mortels aiment beaucoup gambader parmi ces morts-vivants alors autant rester dans cette ruelle avec eux mais sans pour autant se coller à eux."

Elle marqua une courte pause et jeta un regard plein de dégout vers les morts et reprit :

"Mais dis-moi, quels assassinats as-tu à ton actif pour l'instant ? "

HRP : Désolée pour l'absence mais je manque de temps pendant la semaine.